«La mer n’est pas loin, préludes»
, 2023
Ces dessins narratifs parlent de l’éloignement et de la mémoire.
On ne voit jamais la mer, mais on voit des arbres. Parfois, des figures apparaissent elles introduisent un questionnement, à la fois le leur et le nôtre.
Sources
Michael Jakob, Poétique du banc, éd. Macula 2014
Technique
Mine de plomb sur papier
40 × 30 cm
“The sea is not far, preludes”
These drawings have a narrative of distance and memory.
We never see the sea, yet, we do see trees. Now and then figures appear and they raise questions, their own and ours.